The Eagle and the Lion, the first game in the Battles of Napoleon.
Des figurines rouges et bleues sur des socles multicolores, c'est pas glamour mais quand on veut jouer rapidement après une semaine et labeur, j'apprécie!
Chaque couleur de socle correspond aux unités (divisions, brigades ou batteries). Ci-dessous, on observe l'infanterie légère du Major Baring défendant la Haie Sainte. Le pion indique que le lieu est un objectif dans le scénario.
Vue sur une partie des divisions Marcognet et Quiot.
L'artillerie divisionnaire avec ses pions de boulets.
Les régiments de Pack forment une ligne rouge résolue.
Les régiments légers et de ligne du général Donzelot s'emparent d'une partie de l'objectif et de la sablière mais les pertes s'accumulent.
La brigade de cuirassiers Dubois sabre une unité en tuant dans la foulée le colonel Klenke
Les scots greys se préparent à charger,
l'ordre "défense" ne passe pas, de même que le passage en carré, aïe!
Vue sur les cartes de commandement et d'unités. |
Oups!
Vous comprenez la suite!
Bon! On dira que j'étais fatigué et que Lee, mon partenaire de jeu, était en forme. Mise à part un succès sur l'aile gauche vite calmé par un tir efficace de la R.H.A, le reste ne fut pas brillant. La Haie Sainte est restée aux mains de Baring et la droite était en cours de délitement au moment du gong de minuit.
Côté règle, le jeu est sévère avec les caractéristiques nationales françaises. L'infanterie française n'est pas gâtée et souvent assimiliée à des unités de conscrits sans expérience. Les mécanismes fonctionnent bien, les cartes ajoutent un sérieux brouillard de guerre. Ajoutons que les tirs britanniques sont souvent dévastateurs alors que l'artillerie n'est pas toujours efficace à moyenne et longue portées.
à bientôt
******
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire