Voici deux années que je regardais mon lot de figurines françaises 1940 dans son tiroir d'imprimeur. Mais ne cessant de douter sur mes "talents" (hum, hum!) de peintre, je ne me décidais pas à aller de l'avant.
Mais voici que la lecture d'un ouvrage (voir ci-dessous) et la découverte d'une règle par mon ami Stéphane relancent mes ardeurs de peintre.
Trois escouades de fantassins et les appuis feu , une escouade de corps francs et un FM, trois cavaliers et une pièce de 75mm ainsi que deux Somua et un R 35 (Solido) doivent composeront la petite armée. J'allais oublier le beau Dewoitine 520 (à l'échelle!) acheté dans un magasin de jouet.
Pièce de 75mm
Mitrailleurs en mouvement
Mitrailleurs en mouvement
Escouade de corps francs
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French 28mm WW2
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Et maintenant, le livre!
Et maintenant, le livre!
LA FIN DE LA CAMPAGNE DE FRANCE
Les combats oubliés des Armées du centre
15 juin - 25 juin 1940
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Un thème inexploré et passionnant qui nous délivre en plus une multitude d'idées pour des scénarios allant du niveau de l'escouade au bataillon. Seule difficulté, l'absence de carte!
Résumé:
Après la conquête de Paris par les Allemands, l'armée française a continué à se battre. L'ouvrage rend compte journée par journée des événements politiques et militaires. Des annexes donnent le nom de près de 400 combattants cités pour leur rôle, les lieux où se déroulèrent les combats les plus marquants et les conditions dans lesquelles les combattants furent faits prisonniers.
Après la conquête de Paris par les Allemands, l'armée française a continué à se battre. L'ouvrage rend compte journée par journée des événements politiques et militaires. Des annexes donnent le nom de près de 400 combattants cités pour leur rôle, les lieux où se déroulèrent les combats les plus marquants et les conditions dans lesquelles les combattants furent faits prisonniers.
Quatrième de couverture:
Juin 1940 fut marqué par une terrible défaite pour l'Armée française. En conséquence, depuis cette époque, Vidée prévaut qu'elle aurait tout entière été mise en déroute et qu'elle aurait cessé de se battre dès le 14 juin, à l'entrée des Allemands dans Paris. Or il n'en fut rien car du 15 au 25 juin, tandis que la ligne Maginot tenait bon et que les Panzers roulaient vers la Suisse pour enfermer deux groupes d'armées dans une nasse, de nombreuses unités luttèrent pied à pied en se repliant vers le Centre du pays. Jusqu'au dernier jour, elles ont refusé l'esprit de capitulation, supporté la fatigue, le manque de sommeil, la désinformation et parfois l'hostilité des civils. Sans jamais déposer les armes, 350 000 hommes du G.A. 3 ont fait bloc, fédérant autour d'eux des groupements régionaux, des aviateurs, des élèves de Saint-Maixent, Saumur ou Poitiers et même des marins. Des divisions cuirassées, des DLM et des GR reconstitués couvrirent ce repli et contribuèrent souvent aux actions de retardement. Tous ces hommes, se déplaçant la nuit et combattant le jour, s'accrochèrent au terrain. Ils reformèrent chaque jour une nouvelle ligne de défense, le long de la Loire puis sur le Cher, l'Indre, la Claise, la Creuse... ainsi qu'en Normandie, dans le Poitou, le Vivarais, la vallée du Rhône ou le nord des Alpes. Pendant cette période incertaine, entre l'annonce prématurée de l'armistice (le 17 juin) et son application effective (le 25 juin), un fort esprit de résistance persista et, au soir du cessez-le-feu, une ligne de défense organisée courait encore des Alpes au Poitou. Parmi les plus déterminés de ces combattants, nombreux seront ceux qui rejoindront les rangs de la Résistance puis participeront à la libération du territoire.
Juin 1940 fut marqué par une terrible défaite pour l'Armée française. En conséquence, depuis cette époque, Vidée prévaut qu'elle aurait tout entière été mise en déroute et qu'elle aurait cessé de se battre dès le 14 juin, à l'entrée des Allemands dans Paris. Or il n'en fut rien car du 15 au 25 juin, tandis que la ligne Maginot tenait bon et que les Panzers roulaient vers la Suisse pour enfermer deux groupes d'armées dans une nasse, de nombreuses unités luttèrent pied à pied en se repliant vers le Centre du pays. Jusqu'au dernier jour, elles ont refusé l'esprit de capitulation, supporté la fatigue, le manque de sommeil, la désinformation et parfois l'hostilité des civils. Sans jamais déposer les armes, 350 000 hommes du G.A. 3 ont fait bloc, fédérant autour d'eux des groupements régionaux, des aviateurs, des élèves de Saint-Maixent, Saumur ou Poitiers et même des marins. Des divisions cuirassées, des DLM et des GR reconstitués couvrirent ce repli et contribuèrent souvent aux actions de retardement. Tous ces hommes, se déplaçant la nuit et combattant le jour, s'accrochèrent au terrain. Ils reformèrent chaque jour une nouvelle ligne de défense, le long de la Loire puis sur le Cher, l'Indre, la Claise, la Creuse... ainsi qu'en Normandie, dans le Poitou, le Vivarais, la vallée du Rhône ou le nord des Alpes. Pendant cette période incertaine, entre l'annonce prématurée de l'armistice (le 17 juin) et son application effective (le 25 juin), un fort esprit de résistance persista et, au soir du cessez-le-feu, une ligne de défense organisée courait encore des Alpes au Poitou. Parmi les plus déterminés de ces combattants, nombreux seront ceux qui rejoindront les rangs de la Résistance puis participeront à la libération du territoire.
Voir aussi:
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